nantir v
definition image
translation:
to provide, equip, endow
etymology: from Germanic root as in Old Norse náma — to take and German nehmen — to take
synonyms: acquérir, affliger, armer, donner, fournir, garnir, munir
examples:
Balzac, Ursule Mirouët (1841)
“La ville entière croyait la filleule du docteur nantie des capitaux introuvables.”
Sue, Mystères de Paris (1842)
“j’ai volé la nuit en enfonçant un volet, j’ai été arrêté sur le fait, et encore nanti de tout ce que je venais d’emporter…”
Balzac, La Muse du département (1843)
“mon domestique m’a volé ce trésor le surlendemain, et s’est enfui nanti d’une vraie fortune.”
Berlioz, Mémoires (1865)
“Je pars, nanti d'un très-beau mal de gorge.”
Gaboriau, L’Affaire Lerouge (1866)
“Il nous arrivera nanti du plus magnifique alibi qui se puisse voir.”
Gaboriau, Monsieur Lecoq (1869)
“Le plus âgé avait soixante-sept francs, à même son gousset; le plus jeune était nanti de deux louis.”
Villiers de l’Isle Adam, “Fleurs de ténèbres”, Contes cruels (1883)
“Les petites marchandes du soir alors arrivent, nanties chacune de sa corbeille.”
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translation:
to provide, equip, endow
etymology: from Germanic root as in Old Norse náma — to take and German nehmen — to take
synonyms: acquérir, affliger, armer, donner, fournir, garnir, munir
examples:
Balzac, Ursule Mirouët (1841)
“La ville entière croyait la filleule du docteur nantie des capitaux introuvables.”
Sue, Mystères de Paris (1842)
“j’ai volé la nuit en enfonçant un volet, j’ai été arrêté sur le fait, et encore nanti de tout ce que je venais d’emporter…”
Balzac, La Muse du département (1843)
“mon domestique m’a volé ce trésor le surlendemain, et s’est enfui nanti d’une vraie fortune.”
Berlioz, Mémoires (1865)
“Je pars, nanti d'un très-beau mal de gorge.”
Gaboriau, L’Affaire Lerouge (1866)
“Il nous arrivera nanti du plus magnifique alibi qui se puisse voir.”
Gaboriau, Monsieur Lecoq (1869)
“Le plus âgé avait soixante-sept francs, à même son gousset; le plus jeune était nanti de deux louis.”
Villiers de l’Isle Adam, “Fleurs de ténèbres”, Contes cruels (1883)
“Les petites marchandes du soir alors arrivent, nanties chacune de sa corbeille.”